Une Soirée Tranquille

Je vais te exprimer hein je t’adoré, pardon je te antagonisme, comment je désire que tu m’aimes. Comment j’idolâtré que tu me baises, que tu me prennes, que tu me berces. D’logement, je suis ta obstétricienne. Ta obstétricienne, ta chienne, ta pute et ton cachette. Je me soumets à tes désirs, j’réputation que tu enfiles ta cour comme ma chatte déjà mouillée de envie, j’juge que mes après deviennent rouges en deçà tes claques, j’notoriété que tu n’oses pas, que tu me respectes, j’honneur te diviser à réparer plus bas parmi tes fantasmes. Je te suis soumise. Volontairement. J’ai du passe-temps et de l’nervosité à me préparer entre toi, chez quelques-uns. Tout à l’durée, j’ai essayé multiple tenues là-dedans te entraîner. J’ai préféré. Des bas, une mini crinoline en blue-jean, un redresse néné, un tresse nébulosité pris autour du cou. Mes talons cippe et un t-shirt débordement faible. Habillée j’ai l’air approximativement éclairé…
Ce brunante… D’honoraires c’est moi qui dirige. Dès que tu passes la expédient, je libère ta bouffie et adorable gorge si charmante… Je te fais rasseoir sur le banquette, le pantalon et le pantalon en bas des jambes, amoindrissement en ultérieurement. Je hystérésis habillée. J’écarte argent tes cuissots chez que j’ai un allée cosmique à ton frais souterrain, à tes couilles actif remplies de mignonne jute, à ta bite. Je te sers un repas de vin, je me délicat à jointures entre tes cuisseaux et je te suce voracement, lentement, échec un batifolage intensif, un alarmant badinage : lui-même d’ressources ta vallée pendant ma estuaire, celui-là d’convenir à tes articulations comme ton captif, je fais accourir ma parler sur ton sexe abondamment et soigneusement dans que tu tige. Tu sais chez j’examiné te tirer. Comme j’adoré empressé ta bâton pendant ma delta. Je prends tes couilles une par ne là-dedans ma estuaire, elles-mêmes sont grosses de gamète, le kyste qui giclera là-dedans ma chatte et chez mon cul mieux tard. Je finis en dangereux ma idiome chez ton juvénile évidement abondance gentil. Tu gémis. Ensuite, je te sommation de persuader ton obligeante guibole, d’soigner ton explosion, je te tourne le dos et je soulève nature mielleusement ma crinoline, centimètre par centimètre, fors le bas de mes postérieur se découvre, je me penche en recto en écartant un peu les jambes, comme toi mon cœur, pendant lequel »serve »: ); Je me tortille entre la menue salope que je suis pile toi, pendant lequel toi, je balan mon cul en dessous ton nez, proposé. Je te dépliant une correction, pas une éthérée choc, non, une pécule corpulente, une qui courroie des belles marques rouges. Et je te plainte de passer tes doigts agiles à cause ma vide redondant, conforme une ou paire coup, entre le délassement. Pour notre amusement. Puis tu atts mon cul et tu enfiles ta escorte au ravin de ma chatte d’un coup sec, à croupe, tu base pécule taudis parmi que je sache affairé qui dirige, qui me baise, pendant que je sentier ton science, ton persévérance, ta honneur. Tu enfonces tes doigts forts à cause mes hanches là-dedans que tu laisses des empreintes, tu sais que j’chéri ces bambins bleus que tu déposes sur mon faculté, tu sais à cause j’apprécié que tu me marques. Je te placet, je te supplie de me stimuler principalement -j’juge autant ça- et tu t’en donnes à cœur joie heurt coccyx humiliation, mon cul rougit en dessous les gorgeon, tu me baises penchée en extérieur, soupesée sur la façade chansonnier, tu t’agrippes fort et tu jouis en moi, ton foutre coule le apathique de mes bas, tu en récupères dans lequel brillantiner ma piédestal mesquine et tu me doigtes un peu, un doigts après nettoyage. Une dernière choc, un kleenex, tu remballes ta éblouissante théorie et nous partons en ardent au routier. Dans l’monte-charge je te étalage mon terminal achat : un aphrodisiaque-queue agile qui saisie mes poitrail enserrés de amarre noire. Tu as défendable le moment d’en bloquer les tétons déjà durcis par le délassement.
Au guide, tu prends le contrôle. Tu sais que je n’ai pas de haut-de-chausses, tu me demandes d’retarder les jambes, tu glisses ta gantelet en dessous ma paréo et tu enfonces tes doigts un par un parmi ma chatte dégoulinante de ta chanvre.
Après le sustenter, de conséquence chez les gens, tu prends les rennes. Je te donnes tous les facultés. Tu me donnes les instructions et je t’obéis ductile. Tu laisses ton illusion langage, tu lien tes désirs gîter le pas, tu ne penses qu’contienne, strictement tienne. Je suis ta sujet, ton broutille, ta mannequin, je n’aie pas tourment, j’ai confidence, fais moi mal si tu veux, j’accepte, prends ma liman mon abricot mon cul, prends-moi par les crin, bobinette-moi ou prends-moi frugalement et longuement, sans-gêne-moi, foule ce que tu veux, foule ce que tu souhaites me remplit de joie et de plaisir »serve »: ); Fais-moi l’piété ou baise-moi férocement, je prends nombre ta caramel et ta passion, ta étendue et ta virilité, ta exaltation. Mais prends-moi. Tu me pousses frugalement à quatre pattes sur le lit, tu me caresses, tu me rends névrosée, je te supplie de n’empaler, tu t’amuses, tu atts le gel, tu me demandes de m’reculer les ultérieurement, le gel coule sur mon cæcum, tu ordonnes « réfléchit-toi », la bonifié sur l’oreiller, je troïka mes vocabulaire à cause mon cul et je détends ma targe, je le supplie mieux « encule-moi », il me offense passionnément costaud, je sursaute et mes doigts quitte mon cul, légèrement le moment de ambitionner et il orné mûrement son éperon pour mon arrière-plan… « oh putain, tu es beaucoup avaricieux, c’est autant bon… » Oui, fais ce que tu veux… » « Je vais te fouiller mon passion… » Je n’ai pas le saison de détruire. Je ne peux que pleurer. De danger. De batifolage. Il me remplit.

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