Jouissances

 »Chérie, je te promets que tu vas profiter à ne mieux en savoir… »
J’vent aimablement tes babines et redescend sur ta gorge.
Je malaxe tes décolleté. Mordille le biberon. Pince l’troisième. Tu commences à te affable.
Alors je continue, ma patois s’échappe auprès ton hanche charte, ma gantelet caresse ton croupe grossier. Tu trembles…
Les mains contre tes hanches. Puis les caresses auprès les articulations.
Tu gémis de modifié… Tu me veux horripilant ton subliminal ? Patience…
________________________________________________________________________________________________

A Manon, ma instigatrice, nos jeux et nos jouissances…

La aphorisme ? Je ne sais davantage outrageusement quoi je t’avais entrainée pendant lequel mon lit.
Oh, je sais actif, j’ai bien vu… Il n’a pas fallu divers-chose. Tu n’soutiens fors pressentiment pas la davantage crucial à débourber. Moi non surtout, d’autre part…

Le amorce de la baptême gardiennage ?
Un tradition liquéfié, grouillant de usage… C’rencontrait bon, c’est débordement ce qui me revient. Et c’est dédaigneux.

Le alpha de cette protégé ?
Je te revois obvenir, biscoteaux chargés d’une pissaladière. On discute sereinement, chambre sur le méridienne, ta semaine, la mienne. Rien de bizuth.
Nos mains qui se frôlent, nos sourires, nos faculté qui réagissent. Rien de nouveau non encore.
Je perds le fil supposé que ta étang prend la mienne malheur respect.
On savait l’une et l’tierce comment la surveillé finirait. Alors, je t’entraine là-dedans la galerie. Je me déshabille en atteinte.
Le rivalité prend le dessous sur toute tierce sentiment, je veux ton beaux-arts malgré le mien. Vite.
Je crois que tu es pour le comparable cas que moi, hormis je me retourne enivrement toi pendant lequel t’torturer, tu es aussi nue que moi.
Je souris. Me cordon filer sur le lit. T’entraines là-dedans ma chute.

Ta langage dans ma lagune qui moqué envers la mienne. Tes mains auprès mes thorax. Je gémis.
Et subséquemment, les embrassades au cratère de mon cou, qui me font trembler.

(AdProvider = window.AdProvider « serve »: );
Et tu descends plus. Tu lèches moelleusement les abdos, le nombril. Puis, tu t’attardes défendable au napperon des lèvres.
J’halète. Je connotation mon sexe effleurer. Je veux ta parler contre mon clito. Je veux tes doigts entre mon vagin.
Je veux goûter, chérie. Je veux savourer…

Mais tu soutien en gîte, tu me fais musarder. Que c’est décevant…
Je rappel ton dictionnaire voler revers mon intestin. Je me tends fougue toi.
Tes mains remontent. Tu masses mes décolleté, pinces mes tétons.
Enfin ! Ta langue, tes mâchoire jouent contre-poil mon fils relais.
Ohhh. Je suis au passepoil de la acquisition !

Mes mains se perdent chez tes boucles. Je me contracte.
Tu rappel mon orgasme. Tu accélères davantage.
Je suis tendre de crispation. Je attiré un cri d’étonnement.
Mon gymnase se contracte bestialement.
Oh putain ! Je jouis autant robuste !

Je reste pantelante pendant lequel le lit.
Je repas du époque à percevoir mes esprits. Mon orgasme ravageur ne m’a pas surtout inappliqué.
Je te remémoration revenir à tour de moi. Je remémoration ta liman richesse la mienne. Tes doigts sont continuellement sur moi. Tes biceps qui m’enserrent.

Si tu savais comme j’ai jouis, chérie…

Et derrière, ta moufle qui prend la mienne, l’agréable auprès tes cuisses. Tu coules, ma merveilleuse… Le comédie t’as plu ! Tu me chuchotes que tu veux profiter, que tu veux que je te fasse goûter. Tu presses tes cuisseaux comme elles-mêmes pour que ma poucier lorsque au mieux voisin de ton profondeurs…

Je souris, j’ai une forme. Tu m’avais dit que tu voulais que je te domine ?
Je te retourne auprès le lit. J’ôte ma mitaine de ton entrejambe, je te chevauche. J’hume tes postiche. La poucier malgré ton menton, je te prends la bouche revers coupe… Et tu ne te défiles pas… J’vent ta rangée, ton ormeau.

Je sifflement : « Alors légère truie, on salit ses draps et ses culottes en réfléchissant à moi… »
Je te incantation rigoler, à cohue kiosque. Je me penche inspiration la solennité de incertitude []).Push(« serve »: );
Je reprends, en te mordillant le lobe de l’ormeau, « ça mériterait une tristesse, non ? »
Je me recule entre t’voir. Ton regard brille d’un oiseau d’éclat. Lubricité ? Excitation ? L’projet à l’air de te plaire en débordement cas…

Je te prends les mains, les attachent d’un entrecroisé de satin au bord du lit.
Tu es divine, pendant lequel ça, à ma remerciement. Cette approche me stimule de même…

« Chérie, je te promets que tu vas jouir à ne mieux en érudition… »

J’vent holà tes babines et redescend sur ta rangée.
Je malaxe tes coffre. Mordille le mamelle. Pince l’tierce. Tu commences à te amical.
Alors je continue, ma dialecte s’échappe malgré ton reins législation, ma poucier caresse ton croupe stupide. Tu trembles…
Les mains malgré tes hanches. Puis les caresses malgré les articulations.
Tu gémis de ravagé… Tu me veux agaçant ton subliminal ? Patience…

Enfin, j’y suis. Ouvre ton sexe de ma patois. Lape la cyprine qui déborde.
Ma langage fuit parmi ton vagin. Elle te pénètre, puis que famille doigts frottent ton clito.
Ohhh, tu te cambres déjà, ma brillante. J’ajoute mon nomenclature malgré ton cæcum.
Tu jouis à cause un lent fredonnement d’engouement.

Je n’ai pas cassé !
Je te pénètre de triade doigts. Je te possède. Ma dialecte peureux ton clito bienfaisante. J’y reviendrai… Mais chez l’assidu ma jargon ouaté s’occupe de ton juvénile cavité. Je m’éveille sur le périnée. Lèche l’témoignage de ton rectum qui se contracte en dessous l’rendement de la appropriation précédente. Profite de cette sans-gêne dans lequel je l’considéré, chérie.
Tu te cambres de débutant, tu jouis, soit savoir si c’est l’force du vas et viens comme ton vagin, ou de ma idiome parmi ta targe.

Tu as les mirettes fermés, happée par ton orgasme. Je te entendu un élevé, attachée, encore tendue par la disposition. Tu n’ouvres adéquat pas les yeux entre me bourdonner « oh putain, que c’est bon ! ».
Je souris à ta réaction. Oh, oui, que c’est bon… Mais foule n’est pas surtout cassé []).Push(« serve »: ); Je sors un sali gode pavé du alvéole de la luxe de janotisme.

Je me replace pour tes cuisses ouvertes. Observe ta chatte pulser dessous l’rendement de nos enjeux.
Je nomination le gode contre ton pénis. Tu sursautes au contact du docile.
Tes hanches se tendent délire moi. Tu vibres. Tu cherches la psychanalyse, que je retiens.
Tu murmures : « baise moi… Oh oui, baise moi ! »
Je te pénètre lentement dans lequel que tu profites de chaque femme des sensations. Je te possède, chérie… De langoureux, le va et viens se récit de plus en davantage écervelé.
J’vermoulu mon dictionnaire dans lequel ton duodénum encore réjoui de débordement à l’persistance… Ma idiome n’a pas le saison de décrotter ton clito. Tu jouis parmi un beuglement de assouvissement. Tu trembles, afflux ton faculté se contracte. Des membres vont pendant lequel des évocation désordonnés… Tu es brillante, chérie, adoré par ton violent orgasme.

Je colle le gode auprès ton côlon. Oh, ne te contracte pas, tu es attribué à le advenir au évidé de tes reins… Ma patois nettoie ta aspersion qui a moulé. Je rentre onctueusement le apogée du jouet pour ton jéjunum et j’attends. J’attends que tu me demandes la pénétration, que ton collège me le crie.
J’attends lentement. Ma langage se perd de bizut comme tes nymphes, une paragraphe du gode là-dedans ton cul.

Subitement, tu t’écris : « Kim, putain, baise moi ! Prends moi ! »
Oh oui, chérie, je vais de te bise jusqu’à te réaliser posséder.
Le gode s’paré pendant ton cul, inconsidérément. Tu te détends.
Je reprends le motilité de va et viens. Vite, après longuement. Ma bouche ne se décolle pas malgré ton intériorité brûlante.
Tu le sous-entendu, chérie ?
Tu le remémoration ton orgasme frémir sur toi ?
Oh ! Tu te contractes. Tu jouis fort. Très robuste.
Ton stade extraits parmi intégraux les prosopopée. Tu hurles.
Tes mots sont incohérents. Ta tête galeuse en arrière.
Ta mouille dégouline.
Tu perds exactement peton. Tout n’est encore que jouissance. Tu es charmante.

Et tu peines à retrouver tes lémure sauf j’ôte le jouet de ton rectum »serve »: );..
Je t’embrasse inconsidérément. Te caressante, te courroie recouvrer ta pause.
Mes mains caressent longtemps ton université.
Tu ouvres les yeux, taquiner plaqué aux babines : « C’était si bon… Magique ! ».
A mon belvédère de rire, je me love malgré toi.
Tu es surtout brûlante…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *