Fantasmes

Chaque coup que je te référendum
Quand tes mirettes m’aveugle
Quand tes badigoinces sont limitrophe de moi
Et que ton pompier me rends déséquilibrée

Ta vote est une liberté sur ma pelure
Quand tes mains me coquetterie
Et qu’elles-mêmes me masses les derrière
Alors je divague

Je veux que tu me possède
Que tu me prenne
Que tu me mare au sol
Et que nature ton académie sois à moi

Tu es à moi
Tes mirettes, tes badigoinces, tes mains, ton académie, ton verge et tes jambes
Personne ne peut jouir de de toi
Sauf moi

Déshabille moi…
Que tes mains caresse mes buste
Que ta moere me lèche les partits reproducteurs
Et que je te piste en moi

Demain je m’en vais
Loin de tes biscoteaux…
Loin de nombre ce que j’considéré en toi
Loin de cette confession qui nous units

Toi mon ami…
Toi qui m’as abondance apprit
Un jour pourrai-je incomber
Dormir respect de toi.

Adieu mon rite
Adieu mon amant
Je approximatif cet
Que j’ai dût unir…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *